LE MUSEE RURAL : Expositions d’ENRIQUE RAMIREZ

Dans le cadre de la résidence mission d’ENRIQUE RAMIREZ, artiste vidéaste, que mettent en place la Communauté de communes Bassée-Montois et Act’art, diverses rencontres seront proposées aux habitants du territoire.

4 soirées-rencontres inviteront le public à venir découvrir les œuvres vidéos de l’artiste et les premiers éléments de son travail sur le territoire ; l’occasion d’un échange avec lui et de promouvoir les évènements suivants.

INSTALLATIONS ET PROJECTIONS VIDÉO
L’artiste convie les habitants à plusieurs projets artistiques

4 LIEUX D’EXPOSITIONS OUVERTS
DU 29 JUIN AU 02 JUILLET
DE 10H À 18H

DONNEMARIE-DONTILLY
CAVES DE LA CIDRERIE
RUE DE LA PORTE DE MELUN

SAVINS
ÉGLISE

GOUAIX
CHATEAU DE FLAMBOIN
RUE DU CHATEAU

VILLENAUXE-LA-PETITE
FERME DE LA CHARRETTE
RUE DU CHATEAU D’EAU

 

Pour en savoir plus  :

L’art, où est-il ?

 

Portraits videos
Enrique Ramirez va à la rencontre des habitants avec un camion équipé en studio-vidéo.
Projections et tournage de portraits des habitants participants.

Rencontre – projections
Ces rencontres publiques présentent l’univers artistique d’Enrique Ramirez à travers ses vidéos  « La gravedad », « Une histoire sans destin ».
En seconde partie, sera présenté l’avancement des projets en cours sur la résidence.

Musée rural
Il s’agit d’une série d’expositions en différents lieux et espaces de la Communauté de communes de la Bassée-Montois avec 4 thématiques différentes.
Celles-ci interrogeront une question centrale : L’art, où est-il ?

Conçu comme une réponse à l’absence d’un Musée d’Art Contemporain proche du territoire, cette notion de manque nourrira une « fantaisie » construite à partir de ce constat.
Le musée rural pourra être perçu comme un geste, un objet dénonçant cette absence dans un sens social, politique et rural.
Ce musée ne sera pas conçu dans une relation de pouvoir entre les élites culturelles du centre et de la périphérie, mais plutôt un musée alimenté de sa propre culture rurale, par son environnement propre et ce qui y vivent.

LE JOURNAL 

 

enrique ramirez